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Gavin Turk a remporté le prix Charles Wollaston en 2007 à la Royal Academy of Arts de Londres.
Gavin a fait «Nail», une sculpture en bronze de 12 mètres d'un clou rouillé à côté de St. Paul’s.
Le dernier spectacle de Gavin a été fortement inspiré par la rébellion d'extinction.
Gavin Turk s'est fait connaître pour la première fois après le MA Show du Royal College of Art en 1991. Sa contribution controversée à l'exposition était une plaque bleue de protection du patrimoine avec l'inscription « Gavin Turk worked here 1989-91 » (Gavin Turk a travaillé ici 1989–1991). L'approche minimaliste et conceptuelle de Gavin a attiré l'attention de Charles Saatchi et l'a propulsé dans le mouvement des Young British Artists des années 1990. Depuis son succès fulgurant, Gavin est une figure centrale de la scène artistique contemporaine.
La carrière précoce de Gavin Turk
Qualifié de « farceur » des YBAs, Gavin a collaboré avec des artistes tels que Tracey Emin, Damien Hirst et Gary Hume sur des œuvres audacieuses qui devaient façonner le cours de l'art conceptuel. Tant dans la sculpture que dans la gravure, les œuvres révolutionnaires de Gavin confèrent un sens et un poids à ce qui est sans valeur, tout en remettant en question la valeur attribuée à l'art. Des œuvres comme Yes ont suscité beaucoup d'attention en raison de la confrontation intrépide de Gavin avec le monde de l'art. Gavin a distribué ses autocollants Yes aux visiteurs de la Frieze Art Fair et a joué avec des éléments de performance et d'art libre pour interroger ce qui peut être considéré comme de l'art.
Projets récents
Récemment, Gavin s'est tourné vers des thèmes environnementaux dans son travail, se concentrant principalement sur la relation de la société aux déchets. Il y a à peine un an, Gavin a eu une exposition intitulée « Letting Go » (Lâcher prise), qui abordait la crise climatique et était fortement influencée par l'engagement personnel de Gavin dans le mouvement Extinction Rebellion. Ses séries de sérigraphies, aquarelles et sculptures en bronze peintes, qui traitent toujours des effets de la consommation et de la production de masse, incitent le spectateur de manière caractéristique à remettre en question son propre comportement et sa relation avec notre environnement.
Lisez notre article sur l'artiste pour en savoir plus sur la façon dont Gavin Turk donne de la permanence à l'impermanent et de la valeur à ce qui n'a pas de valeur.